Hommage à Al Berto, mort en juin 1997. Des textes d’Anne Marbrun, Mohammed Bennis, Allain Glykos, Eric des Garets. Le dernier entretien du 26 avril 1997 donné au Diário de notícias. Son poème capital, Lumineux Noyé, traduit par Etienne Rabaté. Quelques fac-similés. Un livre émouvant et essentiel pour mieux connaître ce grand poète.
Né en 1948 à Coimbra, Al Berto a passé son enfance à Sines (vers la côte sud). Il étudie aux Beaux Arts et lors de la guerre coloniale, s’exile en Belgique pour ne revenir au Portugal qu’en 1975, après la chute de la dictature. Il a été influencé par les mouvements libertaires et par la génération beatnik américaine. Poésie de la violence du monde et de l’insupportable réalité – cri de révolte et de peur : la force des poèmes tient à cette émotion authentique.
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